sexta-feira, 8 de janeiro de 2010

MIKA, LIBANAIS?

Depuis que j’ai pris connaissance, par You Tube, d’un certain Mika, chanteur né a Beyrouth, je me suis interessé en savoir plus sur ce jeune qui, d’après les informations de l’Internet, est le plus grand phénomène de la music pop actuelle. Né d'une mère libanaise et d'un père américain à Beyrout, au Liban, le 18 Août 1983, donc sous le signe du soleil, Michael Holbrook Penniman , dit Mika, a commencé son travail de musicien et chanteur en 2006 et son premier album, sorti le 5 février 2007 ,s'est écoulé à plus de 750 000 exemplaires en France et au total 4 000 000 dans le monde. Ses informations, obtenus chez Wikipédia, en français, portugais et anglais, révèlent encore que ce jeune, chanteur de pop anglaise, est de nationalité libano-anglaise vivant à Londres et que sa famille, quand il avait un an, quitta le Liban pour Paris, où ils ont vécu pendant environ 8 ans, démenageant, ensuite, à Londres.
Plein de curiosité à propos de ce chanteur, né à Beyrout, la ville détruite tout le temps et tout le temps rebâtie, j’ai acheté son premier dvd « Mika live » (2007), que j’ai vu les yeux et le coeur bien ouverts. Ce spectacle fut enregistré à l’Olympia, à Paris, et, pourtant, le chanteur parle très peu français, ayant préféré l’anglais. Il dit, au début, « Bon soir, Paris », et, vers la fin du concert, avant de chanter certaine chanson – « Je l’ai chantée à Perpignan pour 15 personnes ». Fils de père libanais et mère brésilienne, né au Brésil et ayant visité le Liban avant la guerre de six jours (une guerre qui ne finit jamais, malgré les six jours, comme la construction du monde par Dieu, selon la Bible), et ayant vécu dix ans en Europe, je me suis étonné que Mika ne parle pas en français avec son public parisien. Quel sorte de libanais est celui-là ? Où pourrai-je trouver sa nationalité libanaise ? Dans quels de ses traits y-a-t-il le registre de traíts libanais ? Il a une tête libanaise, belle et enigmatique. Sa danse, androgyne, très androgyne, comme le chanteur brésilien Ney Matogrosso (né en 1941 et toujours en tournées frénétiques), comme Mick Jagger et Fred Mercury nom artistique de Farrokh Bommi Bulsara, 1946-1991, né à Zanzibar) me fait penser à la danse au Moyen Orient, faite par des hommes; en réalité, Mika saute tout le temps, mais il essaye,quand même, quelques fois, certians mouvements de la danse du ventre. S’il a chosit la langue anglaise, c’est, sûrement, parce que c’est la langue du show business post-rock, comme l’italien et le français furent la langue officielle de l’opéra. Peut-être il est mulsuman, qui parle anglais, et pas chrétien, qui parle le français ; pourtant, m’informe un très cher ami parisien qu’il y a des musulmans qui parlent français. Dans sa musique, j’écoute le rytme libanais, avec beaucoup de tambours ; il y manque, pourtant, peut-être, un luth lointain, un oud.
En regardant attentivement Mika, je pensais, tout le temps, à mon cousin Antoine Derbedrossian, que j’ai rencontré justement à Londres, dans les années 60 ; il était de Tripoli, au Nord du Liban, et s’exila en Europe. Après Londres, il est parti pour La Haye, où je suis allé le retrouver ; là, il avait changé son prénon français pour Antonov, un prénom de son origine arménienne. Que sera devenu mon Antoine, après tout ce temps et tants d’événements ? Je l’ai trouvé toujours malheureux, malgré son immense succès chez les filles françaises, anglaises, hollandaises,suédoises... Il avait une amertume profonde. Il ne pouvait plus vivre dans son Liban perdu, définitivement perdu. Mika serait, pour moi, nostalgique, la résurrection de mon cousin Antoine, un acteur sans scène, sauf son imagination prodigieuse, son discours séducteur et sa performance inouïe, que seulement quelques rares privilegiés connaissaient.
Somme toute, Mika est une mélange très très post-moderne. Et je crains qu’il perde son identité libanaise – si jamais il en a une -, car c’est un projet mondial , j’en suis sûr et certain, pour faire disparaître l’ethnie du Liban, aussi vieux que la Bible. Mais, n’oublions jamais, que le Liban c’est la Phénicie et tel quel le mythe de la Phénix, il ressurgit, toujours, des cendres...
Au milieu de la foule qui chantait et dansait avec Mika, j’ai vu flotter, subtilement, un drapeau libanais, indice insuspect de ce que quelque part l’on sait que Mika est né à Beyrouth, d’une mère libanaise.

3 comentários:

  1. Mika est de nationalité Libano-Américaine, est chrétien et parle français sur tous les plateaux quand il est invité en France.
    Lors de son concert au Parc des Princes en 2008, il a parlé en français au public.
    Il a toujours déclaré que la politique ne l'intéressait pas et qu'il voulait seulement chanter !!

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  2. He is cute as Mick Jagger, has a good rocking and is sexy as a libanez. xo xo

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